L\\\'Enfant qui venait du futur

Caste des Dormeurs Laxistes


Mardi 10/04/2012. Détails de l'Ermite

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Vous êtes L'ERMITE

 

          Plus de pouls, plus de respiration, plus de température…. Vous êtes mort ou quoi ?

 

          Non. Pas du tout ! ! Vous êtes seulement en hibernation religieuse…. Dans ces cas là, vous êtes tout à fait froid de partout, mais en même temps follement sensible… Tapi au fond de votre grotte… vous méditez profondément.

 

          Et cet individu si extrême… que vous êtes… ressent en lui… et contre toute attente… une impression si forte… bien différente que celles communément ressenties par nous autres pauvres mortels ordinaires ! ! En fin de compte, vous seriez, par rapport à nous, petits nullos, ce que l'on peut nommer un « INDIVIDU  OUT ».

 

          Explications : Vous vous trouvez en lévitation…. Vous glissez dans une forme de pensée que le livre des morts tibétains décrit comme étant le langage du zéro…. Et baignant dans cet univers clos de vide… l'état qui caractérise cet instant… est étale… en attente de rien… je veux dire de rien de connu….

 

          Pourtant votre potentiel qui semble éteint, tellement éteint que le monde sensible ne peut le cerner avec ses critères… nous attend au-delà du miroir de la vie…. Ah, que c’est beau ! ! ! Finalement, un « Ermite » est un être qui n'est pas là, ici, placé dans son écorce terrestre…

 

           Cependant comme il est bien là, puisque je le touche (excusez-moi c'est pour la véracité du récit, sinon je ne me le permettrai pas)… il faut comprendre que cet ETRE là, est un être supérieur aux animaux supérieurs que nous sommes…. Il peut tout faire… avec la foi de la croyance en la valeur de sa retraite… (à 20, 50, 65 ans ? Vous ne les faites pas ! Ah, la retraite spirituelle ? Excusez-moi, vous me faites perdre le sens des réalités)….

 

          Bref, en conclusion, s’il en faut une… je crois qu'un ermite peut tout faire… s'il le veut… si on le lui demande….

 

          Dessine-moi un mouton ! Mais oui ! ! Pourquoi pas ?

 

Votre caractère :

 

          Vous décrire ? Il faut aller à la fin ! La fin de TOUT ! !  Car, il n'y a plus rien après vous. Vous avez atteint le point le plus haut, de la plus haute spiritualité. On ne peut rien trouver de plus élevé. Vous êtes arrivé dans cet univers froid et pourtant si sensible….

 

          Vous êtes au-delà de ce que les humains éprouvent habituellement…. Vous êtes dans une forme de vie… au-delà de la vie normale…. Mais votre présence, si fluide que l'on pourrait vous croire mort, est si forte d'intensité spirituelle… que le monde des vivants ne peut pas vous juger.

 

          Mais il faudra bien un jour appréhender le mystère pour connaître le « fabuleux » individu… si mystérieux… et si envoûtant… Celui que l’on ne pas imaginer que vous êtes….

 

          Je ne sais pas si la phrase que je viens de dire est en bon français ? Mais de toutes les façons, le français, le chinois, l’indou… Vous êtes bien au dessus de toutes ces langues matérielles… Parlons d’esprit à esprit…

 

Les élans de votre cœur :

 

          LE  CUL : Mais vous êtes fou ! Qui a tapé le mot « cul » dans cette rubrique ? L'ERMITE ne sait pas à quoi ça sert! Même pour changer de culotte (il n'en a pas !)….

 

          LES  RAPPORTS : Ah ! les rapports ! Voilà ! Là, il est à son affaire… Les rapports divins, bien sûr… à la rigueur les rapports angéliques…. Ou les rapports entre Dieu et les ERMITES…. Avez-vous quelque chose à rajouter?

 

Votre intellect :

 

          PSAUME : On pourrait croire que dans une illumination transcendantale, on pourrait vous acheter pour Noël, une oeuvre biblique… ou des cantiques. Tiens le « Cantique des Cantiques » ? Mais non plutôt des psaumes…. Il va aimer… Et bien vous avez tout faux ! L'Ermite ne lit pas… il ne chante pas…. Il ne sera pas là pour Noël…. Il attend dans cette vie la concrétisation de ce fabuleux inconnu de l'au-delà !…. Alors les psaumes ! Pensez donc !

 

Vos distractions :

 

          LE WEEK-END ? Tiens une fin de semaine ! Pour changer, vous dites-vous, j'irai bien jusqu'à changer le poids du corps qui est attiré par l’attraction terrestre habituelle… et appuyer plus sur le genou droit…. Cela fait bien sept jours que je médite sur le genou gauche…

 

          LES  OISEAUX : Ces petites choses qui piaillent et pépient ? Avec des éventails collés sur les côtés ? Qu'est ce que c'est ? C’est intéressant et enfin, ça distrait…. Merci humbles créatures de Dieu…. De me faire le cadeau sublime de votre infantilité…

 

Au travail :

 

Y a-t-il quelque chose d’autre que la méditation ?

 

A table:

 

          Oh! Une poignée d'amandes et quelques gouttes d'eau pour aujourd'hui, cela suffit. Demain j'entame un jeûne sec. Prions mes frères. J'en vois qui en ont besoin (il veut parler du Diable qui se trouve en face de lui).

 

          P.S. Je ne dînerai pas avec vous aujourd'hui. Je m'en excuse. En m'approchant de la table, j'ai reçu une décharge électrique due à la haute tension spirituelle et au voltage élevé que Goldorak fait circuler entre l'Ermite et le Diable. Une autre fois peut-être !

 

          Cela fait de la peine à la maîtresse de maison ? Et aux convives ? Alors je reste… Par pénitence…                                                                    

 

Voyons le plan de table :

 

 

 

 

    Le Vainqueur
         
Le Petit Prince   TABLE   Le Destructeur
Le Sage     Méphisto
L'ERMITE     Le Diable
Le Pèlerin     Satan
Le Zombi     Prométhée
         
                 Goldorak

 

 

 

 

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10/04/2012
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Vendredi 06/04/2012. Détails de la Méduse

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Vous êtes La MEDUSE

 

          Et bien oui, d'accord… vous êtes une Méduse. On ne va pas en faire un plat ! ! De plus je ne suis pas sûr que cela se mange une méduse. Chez Bocuse ? Ah oui ? Merci ! J'irai un de ces jours…. Si j’en ai envie…

 

          Mais il faut savoir que vous n'êtes pas une Méduse ordinaire…. Vous êtes une sorte de Méduse-pieuvre, sur l’on aurait retournée comme un gant. Vous me suivez ? Les autres s'y perdent un peu, mais pas vous….

 

          Le gant, la Méduse, la pieuvre, le retourné… sont des images fortes. Il faut les assumer, enfin je veux dire que vous devez assurer. Reprenons. Donc, en tant que Méduse de luxe vous nagez et vous sentez à peine que vous êtes dans une ambiance liquide….

 

          Vous attendez sans fin… mais toujours SENSIBLE… jusqu'à la folie…. Votre raisonnement actuel est une pensée que personne ne peut saisir… Car elle n'a pas de dimension…

 

          Je ne dirai pas qu’elle est sans dimension… Non. Elle est « non existante ». Vous me suivez toujours naturellement ? Vous visualisez bien tout :  « L'ambiance glauque… le liquide… la sensibilité… l'attente….

 

          Ah, tiens ! « L'attente »… justement…. C’est ce que je voulais dire : « Vous êtes dans un état d'attente ! » La Méduse sent-elle bien cet état ? Sent-elle bien ce nouveau monde ? Que dit-elle ? Oh oui, je le sens bien, je le sens bien ! C'est ça qu’elle dit ?

 

          Et bien, c’est impossible à savoir dans ce monde-ci ! Oui. On ne sait pas ce que la « Méduse » SENT exactement dans son monde à elle… Je parle du monde de folie obsessionnelle qu’elle traverse….

 

          Eh ! ! C’est à vous que je parle… Regardez moi… Essayez de me suivre… Oh, finalement j’ai pitié de vous ! Vous ne méritez finalement rien d'autre de ma part, qu'un seul geste d'amour….

 

          Vous suivez ? Pitié, écoutez-moi, je vous en supplie… au nom de notre collaboration nouvelle… s'il vous plaît, je suis là…regardez-moi… cesser de vous « vantouser » le gant, je veux dire votre cerveau de « Méduse » ! ! ! ! …………………………. ;

 

Votre caractère :

 

          Imaginons une méduse… dont l'intérieur serait à l'extérieur… et qui se collerait ses ventouses à elle-même…. Et vous la voyez nager dans un océan immense… dont la qualité serait manquante…. Un faux océan ? Et bien non…. Un VRAI… qui aurait pour « existence » une « non existence »…. Ouhaou ! ! ! J’en ai des frissons d’inexistence… 

 

          Sensitive à la folie, vous flottez en tant que Méduse, dans votre milieu aquatique… cool… mais dans un état de suspens... Allez-vous changer de sensation pour passer à l'étape suivante ? On ne sait pas….

 

          Et nous ? Que pouvons nous faire d'autre pour vous… que pousser des petits cris de pitié… pour cette pauvre méduse… si médusée par elle-même… qu'elle n'est même plus « médusable »… par qui que ce soit….

 

Les élans de votre cœur :

 

          UN (ou une) FIANCE(E) ? Pourquoi faire ? Ah ! Pour le mariage ? Et après ! Oui… et ensuite ? Bah ! Y a-t-il une suite à quoi que ce soit ?

 

          LE  MARIAGE ? Pourquoi faire ? Ah ! De la reproduction ? Mais comment voulez-vous reproduire… si vous êtes sans arrêt… retournée comme un gant ? Attention, vous allez faire comme les escargots, « TOUT… entre vous et vous ! ». Voyez le genre….

 

Votre intellect :

 

          Votre DICTON préféré : « Noël au feu, Pâques aux jeux ! » Non : «  Noël au balcon, Pâques aux tisons ». Mais non, suis-je bête ! : « Noël à la plage, Pâques à la nage ! ». Oh, je dis n'importe quoi ! Oui, c’est bien du grand n’importe quoi…Ce qui n'est pas pour vous déplaire….

 

          UN  CONSEIL : Allez-vous coucher…. Quoi que vous ayez à faire… c'est ce que vous avez de mieux à faire…. Allez, couché le gant !

 

          A  LA  BIBLIOTHEQUE : Choisissez l'annuaire du téléphone… et pour les jours fériés, prenez le bottin mondain…. C’est juste pour dormir… Bah ! C'est aussi bien que de compter les moutons ? C'est même mieux… les noms s'entassent comme des coquillages flottant dans une  mer entourée de méduses ! Ah, j’allais oublier : Et de gants…

 

Vos distractions :

 

          L’AMBIANCE ? Elle sera bonne si vous avez sommeil en début d'après-midi, et si les copains aiment passer des soirées au coin du feu…. Bref, on sera toujours bien avec vous, chère  « Méduse », si on ne veut rien faire !

 

          EN SOCIETE : Ce n'est pas la peine de vous recommander de fuir les gens excités… Vous ne les voyez même pas…. Par contre, il faut vous signaler aux nerveux, pour qu'ils vous évitent…. Vous les rendriez fous !

 

Au travail :

 

A part flotter… Ou faire la queue à l’ANPE… non, c’est au Pôle Emploi maintenant qu’on flotte pendant des heures… Excusez moi, je flotte…

 

A table :

 

          Avec Neptune, vous êtes la reine du banquet des grands fonds sous marins !

 

          Voici vite un plan de table avant que je ne m’endorme :

 

 

 

 

    L'Ordinateur
         
Le Non-A   TABLE   Le Tâteur
Le Liquéfié     Goldorak
LA MEDUSE     Le Fonceur
Le Disparu     Mercure
L'Antimarcheur     Le Cerveau
         
                 Le Vivisecteur

 

 

 

 

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06/04/2012
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Lundi 02/04/2012. Détails du Chambellan

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Vous êtes Le CHAMBELLAN

 

          Mais vous attendes quoi ? Vous allez chercher quoi ?

 

          Au-delà du delà, du bout de l'attente infinie que vous voulez garder de façon exponentielle, vous voulez quoi ?

 

          On peut dire que vous la savourez cette plage de latence… Cela part du crâne et va jusqu'au bout de vos doigts, glissant tout au long de vos terminaisons nerveuses… Encore… encore plus… que c’est bon ! Vous attendez infiniment...

 

          Vous enviez les chambellans de carrière, les huissiers prestigieux avec des chaînes en or et leur présence monumentale, plantée devant la porte des antichambres du président. Voilà votre motivation première.. Et pourtant vous savez que cela ne peut pas continuer !

 

          Vous pensez que ce n'est pas bien sérieux ! Et oui, c'est ce que vous craignez.. survolant clairement la situation, avec l’aide de votre brillante intelligence. Ainsi, vous préférez ne pas y croire et songer que désormais jusqu'à dorénavant, vous ne ferez qu'attendre dans une puissante attente, bien maîtrisée…  parce que vous n'êtes pas fou….

 

          Vous savez bien, qu'à force d'aller de plus en plus loin dans l'attente, vous risquez de disparaître de l'autre côté du miroir réel…. Et en attendant… vous attendez ! Vous ne savez que faire ça : « Attendre toujours, et toujours ».

 

          S'il y a longtemps que vous êtes dans cet état, vous commencez à sentir que quelque chose va enfin arriver, et que vous allez sortir de cette attente….

 

          Mais comme vous redoutez d'en sortir, vous y êtes encore pour un bon moment.. à vous cramponner.. à attendre sans réfléchir que les choses arrivent.

 

          Hélas ! Je ne peux rien pour vous !

 

Votre caractère :

 

          Vous avez cessé de vivre, pour attendre indéfiniment, dans une attente de puissante « latence ». Vous êtes un individu suspendu au-dessus du temps. Et pourtant, vous ressentez tellement la vie…. Vous la pénétrez, vous la comprenez, vous l'explorez avec une telle sensibilité.. si pleine d'esprit… si remarquablement éblouissante. Malheureusement, toutes ces précieuses qualités ne vous servent à rien ! Vous êtes dans un état d'où vous ne sortirez que pour renaître enfin à la vie, comme le phénix de ses cendres….

 

Les élans de votre cœur :

 

          L’ETRE AIME : C'est celui ou celle qui n'a point d'heure. Vous allez vous souvenir, indéfiniment, avec émotion, du jour où vous lui avez offert une montre, parce qu'il (ou elle) était arrivé(e) avec une minute de retard à votre rendez-vous.

 

          Les AMIS : Vous n'en avez pas de ponctuels. Ils vous sortiraient de votre cocon s’ils étaient à l’heure pour les rencards du samedi soir.

 

Votre intellect :

 

          VOS  LECTURES : « Le blé en herbe », de Colette, vous fait rentrer dans ce monde plein de sensations, d'odeurs, de sable chaud, de lumière estivales, et surtout pénétrer dans cet univers tremblant, où l'adolescent attend figé, que la vie, l'amour et le sexe, se fassent attendre presque indéfiniment. J'ai dis presque ? !

 

          Je retire le « presque » !

 

          NB : Et oui, c'est si bon d'attendre quand on est Chambellan. Pour les autres, c'est une autre histoire ! Il y en a que ça énerve…

 

Vos distractions :

 

          Vos LIEUX de prédilection : Les salles d'attente chez le dentiste… la salle des pas perdus de la gare St Lazare… la file de réclamation de la sécurité sociale... la Poste… Partout où l’on peut s’éterniser indéfiniment…

 

Au travail :

 

Vous êtes chambellan chez un noble ? Je le savais.

 

Mais savez-vous que si vous quittez votre Signe Instantiel de Chambellan, vous seriez capable de devenir impatient… comme les autres ?                 

 

A table :

 

          Cela vous ennuie beaucoup d'être interpellé par vos voisins de cantine. On croirait qu'ils pensent vous voir annoncer les invités. Je veux dire que vous… vous n'attendez surtout personne.

 

          Allons courage. Rassurez-vous… Vous voyez bien que la cuisinière est en retard. Chic. Il va falloir attendre…

 

          Et justement, en attendant, regardez un peu le plan de table :

 

 

 

 

 

    Le Crabe
         
L'Attentiste   TABLE   Mercure
Le Dormeur     Le Fonceur
LE CHAMBELLAN     Goldorak
L'Antimarcheur     Le Vainqueur
Le Zombi     Le Pionnier
         
                 Le Mutant

 

 

 

 

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02/04/2012
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Jeudi 29/03/2012. Détails du Dormeur

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Vous êtes Le DORMEUR

 

          « Frère Jacques… frère Jacques… dormez-vous ? »  (Puis-je vous appelez Jacques ?)

Mais, comme disait ma grand-mère, lorsque je faisais la sourde oreille pour mettre le  couvert : « Le petit n'entend pas ».

 

          Ah ! Il a bougé ! ! Hé Jacques ? Vous avez eu un petit cauchemar, je crois ? Ah, je vois… Vous êtes malheureux de ne pas sentir ces remarquables odeurs de vie, ces sons de matines, ces bruits de cloches cristallines, ce fumet de café au lait bien chaud avec des tartines grillées, de beurre et de confiture. Mais vous dormez ! Vous ne pouvez pas tout faire !  On ne peut être au four du pain brioché… au moulin de prières… et en même temps au fond de son lit….

 

          Vous savez dans votre bien heureuse inconscience que le réveil va bientôt sonner. Mais pour cela, il vous faudrait atteindre la sursaturation de votre latence… ce qui n'est peut-être pas encore pour tout de suite… Et en plus vous n'êtes pas vraiment pressé.

 

          Vous n'êtes pas un bébé, Jacques (vous permettez toujours que je vous appelle Jacques, ou Jacqueline ?) dans votre petit pyjama en soie… Car vous savez que vous pouvez dormir et ne  pas dormir en même temps ? Alors que faites-vous petit(e) futé(e) ? Vous vous payez (si vous en avez les moyens, parce que les psychothérapies de rêves éveillés sont très chères) un petit rêve éveillé avec le groupe "Oniros" (allez voir sur Internet mon ami Roger Ripert), qui organise de grands "rêve party", avec la planète entière.

 

          Le truc est simple. Vous vous couchez (pour vous c'est déjà fait) et toute la nuit vous vous dites en dormant :"est-ce que je rêve ou non ?" Si vous répondez oui, c'est que vous rêvez. Non, c'est que vous ne rêvez pas, ou alors que vous rêvez que vous répondez « non ». C'est très simple.

 

          Et il y a des méthodes pour diriger votre rêve avec Hugh Grant sans ses copines, ou avec  Schiffer si vous préférez les filles et quelque soit votre sexe. Mais je suis fou ! Stop ! !  Je ne vais quand même pas TOUT vous expliquer, pour risquer de faire perdre à Oniros, sa clientèle !

 

 Votre caractère :

 

          Un petit titillement vous chatouille l'oreille. Mais vous ne le sentez pas…. Vous dormez comme un bien heureux…. Vous êtes toutefois un peu inquiet, de louper la vie par abus de repos.

 

          Pourtant vous savez que ce sommeil de belle au bois dormant fatale, ne va pas durer. Pour cela, il faudrait faire un effort, mais vous n'en avez pas très envie. Alors votre grande intelligence se met à fonctionner… Elle imagine, pour rester dans la note, qu'elle ne fonctionne pas.

 

          Vous pensez que vous êtes en train de « rêver que vous allez vous réveiller ». Oui, c'est possible… mais ce n'est pas sûr.

      

Les élans de votre cœur :

 

          UN NOUNOURS : « Je veux ma doudoune ». Vous gazouillez en sommeillant, et en tétouillant l'être aimé (qui vous tétouille en retour, si c'est aussi « un ou une » Dormeur(se), ou qui vous mord de frustration si c'est un GOLDORAC.

 

          AU LIT : C'est un pléonasme pour un DORMEUR de parler d'amour et de lit. Pour vous, l'amour ne peut se faire que dans un lit. Le reste aussi d'ailleurs. Vous y feriez naturellement n'importe quoi avec courage. Même la cuisine ou du tennis.

  

Votre intellect :

 

          LIRE ? Je sais c'est un exploit ! ! Je vous conseillerai tout de même (je suis là pour cela et payé pour vous servir… payé mal, vu mes royalties misérables… mais ma conscience me dicte de vous servir bien… alors ne tergiversons pas), je vous conseillerai donc de lire : « Dormez, nous ferons le reste » de Paul-Loup Sullitzer qui l'a fait écrire par ses nègres, en dormant.

 

          Ou encore, allez voir en bibliothèque le : « Dormez, je le veux », de Majax. Et bien sûr : « Les milles et une nuits » de Shéhérazade.  (Hélas pour vous, même pas question de boire… pas de rasade). Vous pouvez aussi lire le célèbre : « Est-ce que ça vous chatouille, ou est-ce que ça vous gratouille ? » Mais, non je me trompe de livre… Ce livre n'est pas pour vous, c'est pour un autre ! Excusez-moi…

 

Vos distractions :

 

          La POULE : C'est un petit jeu sympa. Vous regardez une poule dans les yeux. Vous lui mettez la tête sous l'aile. Vous la tournez trois fois sur elle-même. Vous lui chantez : « Mon petit quinquin » ! Et, crac… vous l'avez hypnotisée. Vous ressortez la tête de dessous l’aile… elle dort ! ! Tout le monde arrive à faire ce truc d’hypnose… sauf vous.

 

          Quand vous lui ressortez la tête… la poule vous regarde droit dans les yeux… et vous vous endormez illico. Si vous faites ça en avion, lorsque la poule vous voit endormi, elle s'endort… avec tout l'avion… et même le pilote, qui heureusement, avais mis le pilotage automatique, jusqu'à Londres. Alors là, vous jubilez ! Vous avez encore réussi ce coup-là.

 

          LA COUETTE : Ah quelle bonne distraction que la couette : se coucher quand on l'est déjà… et de dormir quand on rêve qu'on dort.

 

          LE REVE : Votre rêve ? C’est qu'un lutin vous glisse une paille dans la bouche, et vous verse du nectar si parfumé qu'il vous chatouille les narines. Et que Mozart vous joue lui-même de la flûte dans l'oreille (c'était du clavecin dont jouait Mozart. Mais vous vous glissez un piano, dans l’oreille pour le plaisir… Attention, même petit, un piano dans l'oreille, c'est dur !).

 

Au travail :

 

Essayeur de matelas dans la vitrine des grands magasins, 24 h sur 24 ?

 

A table :

 

          Rrrron... fle... ments… Oh ! Laissez le dormir. Il nous rejoindra quand il se réveillera. C'est-à-dire jamais. Et puis il y a un paquet de ronfleurs, entassés en bout de la table tout autour de lui. Ils n'entendent même pas crier les Créatifs, qui à l'autre bout, refont le monde….

 

          Voici un exemple de plan de table :

 

 

 

 

    La Suspension
         
La Larve   TABLE   Le Pionnier
L'Endormeur     Goldorac
LE DORMEUR     Le Créatif
La Méduse     Le Vainqueur      
Le Néant     L'Aventurier 
         
                 Le Nul

 

 

 

 

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29/03/2012
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Dimanche 25/03/2012. Détails de la Chrysalide

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Vous êtes La CHRYSALIDE

 

 

          Chère Chrysalide, que faites vous là, en pleine sensation néantisée ? Cocon dissous dans une latence solide ? Vous êtes un individu trop étrange, parvenant à savourer votre état étrange. Votre corps ou ce qui en reste… est cristallisé dans une sensation qui n'existe plus… ou à la rigueur qui est devenue « attente ». Et ça va durer. Oh la, la ! Oui. Un certain temps.. CERTAIN.

 

          La sorte de chrysalide qui se tient ici, affirme que c'est pour longtemps et même plus si affinités… Car elle est très précise la Chrysalide. Ou on attend, ou on n'attend pas…. Ou on est en attente définitive, ou pas. Parfaitement !

 

          Sûre d'elle, tranquille comme Baptiste, la CHRYSALIDE se fait chrysalider, grâce à des  bercements de toutes sortes, avec surtout : chuchotements… rais de lumière...

 

          Mais cela ne sert à rien. Vous le savez bien ! Puisque la vie s'étend pour vous, de façon  étale… en négation de tout ce que vous ressentez. Elle se reçoit négative, cinq sur cinq et elle sait qu'elle le sait sans ambiguïté… puisqu'elle le sait.

 

          Parce que vous êtes bien au courant de tout ça… tout de même. On sait ou on ne sait pas !

 

Votre caractère :

 

          Comment faites-vous pour programmer de façon cartésienne ; cette attente de sensations,  et finalement y arriver parfaitement ? Rien ne se passe, rien n'existe, sauf la sensation de votre corps qui attend... L'attente peut durer toujours.

 

          Alors, vous vous installez dans votre cocon. Sûre de vous, en chrysalide si positive, sensitive… et attentiste… bercée de sons, d'odeurs, couleurs… Vous vous blottissez jusqu'à ce moment fabuleux, d'où vous sortirez changée en papillon multicolore !

 

          Une chose est sûre pour vous : « Ou bien cela arrivera, ou bien cela n'arrivera pas ».

 

          En attendant, vous attendez !

 

Les élans de votre cœur :

         

          FIANCE(E) : Ah ! Qu'est-ce que l'on est bien sous la couette !

          Oui, allez voir dans la case distraction. C'est tout pareil que pour les amours… sauf que

          l'on est deux…. Deux quoi ? 

 

          Deux CHRYSALIDES bien sûr ! Pas une CHRYSALIDE et un FONCEUR ou une  CHRYSALIDE et un VAINQUEUR ! C’est comme avec les signes astraux… Ne vous mélangez surtout pas avec un Scorpion, un Lion ou Bélier.

 

          A la rigueur, on pourrait réunir une CHRYSALIDE et une LARVE, ou une CHRYSALIDE et une MEDUSE…. Cela pourrait encore marcher….

 

          Mais allez donc voir dans votre case « Distractions », il y a une de ces brochettes de personnes qui aiment l’attente et qui peuvent faire office de fiancé(e)… Je ne vous dis que cela...

 

Votre intellect :

 

          VOS  PENSEES ? Bien sûr ! Cela pense une Chrysalide ! Mais avant, cela ressent les choses, sur toutes choses.

 

          Si elle pense, elle pense d’abord qu’elle sent les sensations…. Et surtout elle attend….  Est-ce qu'elle pense à son avenir, à ce moment terrible… lorsque sa coque craquera ? Non, parce qu'elle croit que son état de chrysalide durera toujours… Mais non, je dis une bêtise… La Chrysalide oscille entre la pensée de sa transformation, et l’idée de sa réalisation. Elle est surtout « Attentiste ».

 

Vos distractions :

 

          SOUS LA COUETTE ? Ah que l'on est bien, Tintin. Quelques chansons de Michelle Torr… un tour inexplicable de Sylvain Miroufle… un petit chauffe-cœur de la collection des Deschiens sur les épaules… une bouillotte pour activer la mue qui vient… ah, quelles belles distractions ! Ah ! !  Qu'est-ce que l'on est bien ! !

 

Au travail :

 

Mais, qu’est-ce que vous attendez ?

Ah oui ! De trouver du travail ?

 

A table :

 

          Qui vous a roulé en boule au bout de la table ? On ne voit plus qu'un oeil, et un bout de nez sortir de cache nez en mohair... Vous attendez de renifler le parfum des truffes ou de reluquer le paon confit en gélatine ? Ne vous ne vous en privez pas !

 

          Mais qu'est-ce que vous attendez pour vous régaler ? Ah ! Vous me dites que vous vous régalez déjà avec toutes ces impressions sensuelles ?

 

          Vous avez une question ? Non ? Rien ? Et bien moi, j’ai une réponse : Vous savez qu’une chrysalide, c’est une petite chose larvaire, en attente de se transformer en papillon ? Et cela vous fait peur ? C’est pour cela que vous vous blottissez dans les recoins, pour ne pas y penser ?

 

          Finalement vous n’avez pas tellement la pêche ! Mais vos voisins Attentistes ou Foetus, ils l'ont eux ? Non bien sûr.

                                      

          Bon, je vous ai fait un plan de table, pour que vous puissiez vous endormir entre l’entrée et le poisson…

 

 

 

    L'Enfant
         
La Larve   TABLE   Mercure
Le Foetus     Le Vainqueur
LA CHRYSALIDE     Goldorak
Le Chambellan     Le Fonceur
L'Incertain     Le Créatif
         
                 Perter pan

 

 

 

 

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25/03/2012
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Mercredi 21/03/2012. Détails du Poète

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Vous êtes Le POETE

 

          « Le ciel est par dessus le toit, si bleu, si calme…. Et l'arbre par dessus le toit, berce sa palme ». Non, je ne me moque pas. Moi aussi je plane à mes heures. Je ne ferme pas les yeux aussi fort que vous, cher poète, et je ne reste pas aussi longtemps dans une aussi longue attente… Mais, je suis très sensible… comme vous….

 

          Moi aussi, je peux me moquer lorsque l'on me dit que le vrai et le faux existent, comme le beau et le laid, alors qu’ils peuvent simplement ne faire que « coéxister ». Moi aussi, j'aime regarder le soleil en rêvant… et bronzer au bord de la mer… sans rien faire. Je peux vivre comme vous, ainsi que ce léger oiseau fictif, qui s’étire dans une vie plate, un peu comme vous… Vous  qui ne voulez pas que l'on dise que vous êtes là…. Alors que vous n'y êtes pas,  tout en y étant.

 

          Vous êtes comme le papillon qui se pose un instant et échappe au filet. Comme l’oiseau qui n'a pas d'étiquette, vous n’avezqu’une seule position : Le bien et le mal… le pour et le contre. Il n'y a pas l'alternative, ni d'hésitation. Vous êtes inexistant, en état de totale attente… Pas d'erreur, il n’y a rien d’autre pour vous... Peut-être demain serez-vous quelqu'un ? Pour l'instant, vous n'êtes rien. Nu, sans banderille pour ficher un nom dans votre corps, l'être humain qui ose être un poète n'existe pas pour la société. Mais la société existe-t-elle pour lui ?

 

Votre caractère :

 

          Mais qui est ce petit oiseau filant en flèche dans le ciel comme s'il volait ? Et bien c'est vous ! Mais vous ne bougez pas. Vous rêvez seulement que vous planez dans les airs. Tout est si simple. Le vrai et le faux n'existent pas, pas plus que le beau et le laid. Ne sont réelles que vos sensations d'attente. Peut-être demain allez-vous agir ? Mais en attendant vous voltigez dans votre tête avec des mots de poète, empli de sensations frissonnantes. Et c'est tant mieux parce que quand vous commencerez à construire, on dira : Il est mort le poète...

 

Les élans de votre cœur :

 

          Parlons de l'EGERIE. Du nom plus familier de muse, l'égérie est la sœur, l'âme proche, l'élu(e) du poète. C'est elle qui vient se pencher sur votre épaule. C'est elle votre inspiration. C'est elle qui vous console (la personne est ici qualifiée au féminin comme au masculin). La grâce que je vous souhaite est que cette muse ne soit pas que virtuelle… Un peu de :  « En chair et en os », alors là ce serait le pied…

 

          Bon, votre égérie est là. Elle vous berce. Elle vous souffle les mots, les strophes. Elle vous comprend. Et vous pensez qu'elle vous aime ? Mais ce n'est pas obligé ! La muse a pour boulot de vous stimuler. Elle n'est pas engagée, pour vous aimer. Son truc est que vous le croyez, afin que votre cerveau se fertilise. « Muse.com », c’est un truc qui peut servir, si vous manquez de muse ! Mais ne vous trompez pas de sigle ( Lolo.com, ne vous fera pas le même usage !).

 

Votre intellect :

 

          CHAUSSETTE ? Oui, pourquoi pas mettre le mot « chaussette » à la place du mot  « cerveau » ? Pour un poète, un mot peut être remplacé par un autre ? Ainsi, par exemple, si chaussette voulait dire « amour », « choucroute » pourrait signifier par exemple : «Tu es, mon amour, comme un beau coucher de soleil sur la dune ambrée du désert immuable de mon âme ensablée ». Cela fait des poèmes extrêmement bien, du genre : « Là-bas, l'abîme remuait une brume obscure qui clouait ma chaussette (voir définition plus haut). Je songeais en moi-même, en pensant à toi :  « Oh, choucroute bien-aimée ! ».

Je continue à versifier moderne : « La vieille montagne était debout immobile. Sur son sommet nu qui voit clair dans les âges chaussetteuses, la lumière errante projettant une clairière. Et là-bas, je dirai choucroute et je ne pourrait rien dire de plus. La vallée enfiévrée redisait à mon père que sa bouillotte (féminine) avait mis le couvert et tout le monde sait qu'une bonne bouillotte vaut mieux que deux mauvaises chaussettes.

 

          Alors là, voici une poésie qui pose son homme ou sa femme. Sûr qu'un éditeur va craquer vite fait ! Qu’il s’adresse à moi !

 

Vos distractions :

 

          FAIRE DES VERS LE SOIR ? Bien sûr le soir et surtout la nuit, parfois le matin, souvent l'après-midi, bref pratiquement tout le temps… vous faites des vers. L'ennui est que vous ne trouvez pas d'éditeur. (Les éditeurs font partie d'une race qui chasse le gaspi et les vers… qu'ils soient alexandrins, acrostiches, postiches – (ça, c'est pour frimer) - ou octosyllabiques - ou chèvres même combat… tout ça fait partie du gaspi). Heureusement, vous ne faites, ni ne dites des vers pour l'argent, (les vers ne sont pas commerciaux).

 

Au travail :

 

Oh combien de marins, combien de capitaines… 

Oui combien ?

 

N’oublions pas qu’un poète ne travaille pas. Il versifie. C’est différent.

 

A table :

 

          Au dessert, vous vous levez et vous nous parlez avec une telle émotion… de votre petite maison dans la petite vallée… que nous en avons les larmes aux yeux. Vos voisins, confrères de même sensibilité ne sont plus là. Ils sont déjà tous partis dans leur tête, les yeux fermés et sur leur lancée, ils attendent que leur mémoire finisse de savourer ce qu'ils viennent d'entendre.

 

         Et ça peut durer.

 

          P.S. : Songez que tout le monde n'est pas forcé d'aimer la poésie. Le repas peut se terminer dans l'événement. Regardez comment réagissent les convives. Je ne suis pas sûr que le Vivisecteur appréciera. C'est bien dommage d'ailleurs. Mais tant pis pour lui !

 

          Faites donc une soirée entre vous… amis poètes, bonsoir  !

 

          JP Rosney attend depuis des lustres que vous l’invitiez. Echangez vous vos brochures inédites…Envoyez lui vos souvenirs d’enfance versifiés, contre les stances de Victor Hugo. Et en attendant, voici un exemple de plan de table :

 

 

 

    Le Pionnier
         
Perter Pan   TABLE   Le Savant
La Chrysalide     L'Analyste
LE POETE     Le Vivisecteur
Le Petit Prince     Le Régleur
Le Gamin     Le Chercheur
         
                 Le Créatif

 

 

 

 

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21/03/2012
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Samedi 16/03/2012. Détails du Nul

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Vous êtes Le NUL

 

          Je vais vous raconter une petite histoire. Depuis quinze jours, je me sentais mal (excusez-moi de parler de moi, mais c'est bizarre, c'est un sujet qui m'intéresse beaucoup. De plus, cela a un rapport avec vous, parce que le sujet va vous intéresser beaucoup également. Alors que demander de plus ?)

 

          Donc, depuis quinze jours, je n'avais pas le moral. Je trouvais tout dégueulasse. J'avais une espèce de mal au cœur infâme. Je trouvais tout nul, mes copines, mon boulot, le dernier tableau que je venais de peindre ! Le monde entier était nul. Bref, ça n'allait pas du tout. Finalement, ce matin, je me suis dis : « Allons donc ! Qu'est-ce c'est que ça ? Je vais me tester pour connaître mon Signe Instantiel ».

 

          Eh bien, je vous le donne en mille ! J'étais le « NUL ». Cela m'a requinqué illico de savoir cela. Je suis allé chercher la lecture d'un signe instantiel positif (le créatif ou Goldorac, par exemple) pour sortir de cet état. Pour faire bon poids, j'ai choisi et lu attentivement le célèbre « Goldorac » et j'ai pu me glisser dans son signe brillant. Alors, pitié, faites comme moi, allez choisir parmi les 96 signes instantiels celui qui vous plaît le plus et qui est le plus valable pour la situation en cours. Sa lecture vous aidera à le devenir !

 

Votre caractère :

 

          Vous êtes en ce moment l'individu le plus difficile à vivre, à cerner et à suivre qui puisse exister ! Et pourtant la nullité de votre existence, ne vous empêche pas de survoler vite et sans trêve tous vos temps morts. Que dire de vous ? Il vaut mieux ne rien en dire. Vous regardez lucidement votre état de « NUL » du haut de votre pensée insaisissable. Vous savez que tout peut changer. Vous ne le désirez pas. Vous attendez sagement. Vous êtes calme. Un tracé plat vous définit. Vous ne bougez pas. Vous n'êtes pourtant pas évanoui puisque vos yeux et votre nez bougent. Vous vivez sur un autre cosmos, planète folle dont la nullité serait positive. Ben oui !

 

Les élans de votre cœur :

 

          INEXISTENCE. Si vous cherchez comme compagnon ou pagne, (avec ou sans, d'ailleurs… là je veux parler du pagne), donc si vous cherchez un être comme vous, je vous souhaite bien du plaisir. Allez tout de suite vous acheter ensemble un 6/35. Ce sera plus franc. Non, je vous conseille de porter votre dévolu plutôt sur un joyeux vivant plein de peps, une éblouissante rigolote, un(e) fiancé(e) partant pour cette merveilleuse aventure qu'est la vie à deux. Et ne dites pas que vous préférez inexister! Vous voyez bien que vous attendez que cela change. Vous n'attendez que cela ! Oui, c’est moi qui le dit. Et je sais bien de quoi je parle. Je l’étais ce matin même… et de lire « seulement » la description, m’a permis de changer.

 

Votre intellect :

 

          Le livre des morts tibétains est l'ouvrage que vous attendez (ou que vous attendiez, si vous ne l'avez pas déjà lu). Avez-vous eu connaissance du bouquin de l'américain Moody concernant huit millions d'interviews de gens revenus à eux, après une mort clinique ? Tous racontent la même chose. Le couloir, la lumière, la présence d'un être impalpable plein d'amour, les marches, le jardin merveilleux, le bien-être de n’être rien, d’être NUL ! Le bonheur en quelque sorte !  Il y en a même qui sont furieux que le chirurgien les aient sauvés…

 

Vos distractions :

 

          Avez-vous lu Harold et Maud? Lui a 17 ans, elle 80. Ils adorent tous les deux les enterrements. Mais elle, c'est pour se préparer joyeusement à la mort, car elle adore la vie. Lui, c'est par morbidité. Il en a assez de vivre. Or la vitalité de la vieille dame, qui fauche la moto du flic, le saisit. Il commence à rigoler. Il tombe amoureux de la vie et croit que c'est de Maud. Non, c’est pas elle, mais c'est pareil.

 

          Comme distraction, allez donc visiter quelques tombes. Cela convient tout à fait à votre goût délétère, méphitique et mortifère. Puis, vous risquez peut-être de rencontrer Maud. Elle n'est pas morte comme le dit l'auteur dans le livre, puisque c'est dans le livre qu'elle est morte. Dans la vie elle existe… Si, si ! A des milliers d'exemplaires. Cela sera peut être vous demain…  Que dis-je, demain ! Tout à l'heure.

 

Au travail :

 

Au travail ? Mais vous êtes NUL !

 

A table :

 

          Même à table, vous vous écartelez pour rester dans un état sans dimension en attente de la suite du repas et par la même occasion de la vie.

 

          Allons, courage ! Entourez-vous de personnages rayonnants et de convives joyeux. Chassez tous ces Disparus, Liquéfiés, Zombis dont vous recherchiez la compagnie. Ecoutez le maître de maison qui vous a placé près de Mercure.

 

          Non ? Ca ne vous va pas ? Il vous fatigue ? Alors, vous avez choisi votre côté de table près de la fenêtre ou près de la porte. A droite du Mort Vivant et à gauche du Morne ou de la Larve ! C’est NUL !

 

          Ah ! Un détail. J'oubliais de vous dire de ne pas citer à table, toutes ces phrases mortes, ces tracés plats sans dimension… ni de parler de votre individualité… du désastre néant de votre état d'inexistant… et surtout pas de votre forme de logique, qui saisit les extrêmes insaisissables… Ah j’oubliais, évitez de vanter cet autre univers si fabuleux que vous pratiquez, à donf… dans lequel les raisonnements morts seraient la vie, tandis que la vie réelle ne serait que virtuelle... Cela fait désordre !

 

          Voilà votre plan de table, avec à côté de vous les inexistants, et en face vos opposants :

 

J’ai pas pu faire mieux…

 

 

    Le Mutant
         
Le Néant   TABLE   L'Enfant
Le Mort-Vivant     Le Pionier
LE NUL     Le Fonceur
La Larve     Peter Pan
La Suspension     L'Etudiant
         
                 Le Disparu

 

 

 

 

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17/03/2012
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Mardi 13/03/2012. Détails de la Suspension

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Vous êtes La SUSPENSION

                                               

          Et bien, nous sommes là, ma chère « Suspension », (j’ai envie de vous appeller du doux nom de « Susp »), pour essayer de tirer au clair votre portrait. Et ce n'est pas chose facile lorsque l'on voit que vous vous balancez un coup à droite, un coup à gauche, sans en avoir l'air… et un peu comme une chanteuse de funk qui pratiquerait une chorégraphie standard comme celle d'OW, mais en plus balancée.

 

          Vous avouerez que pour réussir le cadrage, c'est pas coton : Votre regard insondable se pose sur le néant, sans se poser de question… suspendu dans la splendeur et la pérennité d'une suspension de respiration infinie, partie pour l'éternité. Eh hop ! Allez donc, c'est pas son père. Si ça l'était, vous seriez son fils ! Enfin je veux dire sa fille… consciente de son inconscience, plus exactement, consciente de sa non sensation.

 

          Et vous attendez, vous attendez….. Oh comme vous attendez ! Et en plus, vous attendez sans rien faire et sans rien avoir à dire. C'est comme moi quand je vous regarde en attente. Je me demande si je ne suis pas moi aussi, en train de dormir derrière mes paupières grandes ouvertes, fasciné comme le lapin devant un python qui se balancerait, comme une « Suspension » qui  oscillerait lentement… dans une semi-obscurité.

 

Votre caractère :

 

          Il n'est pas plus facile de saisir l'eau qui dort, que l'eau qui court. Imaginez deux yeux très lucides, qui de cette eau sortiraient, pour la regarder couler, et sans réfléchir….

 

          Immobile, vide, votre regard est comme celui du Sphinx, impénétrable. Inutile de chercher à vous accrocher, à vous intéresser, à vous émouvoir….

 

          Vous avez décidé, une fois pour toute, de ne rien faire, peut-être même de ne pas vivre. Quelque chose vous dit que cela ne va pas durer, et en même temps, vous connaissez la durée éternelle de votre temps de si grande attente.

 

          Vos yeux s'ouvrent démesurément, et se démesurent sans cesse… davantage… dans leur attente infinie….

 

  Les élans de votre cœur :

 

          ELLE : On a dit « elle ». Mais ça peut être « lui ». Car ça dépend du sexe. Si c'est vous qui êtes la Suspension au masculin on dira "il". Alors l'idylle se déroulera de la façon suivante : d'ordinaire, c'est l'homme qui attaque, qui fait les avances, qui conquière mais dans votre cas, bien que vous soyez un monsieur, ce n'est pas ça du tout.

 

          L'homme « SUSPENSION » n'attaque pas… en général… et ne fait pas d'avance, ou juste pour prendre le sofa en premier. S’il a réussi à conquérir, alors c'est en dehors de sa propre volonté.

 

          Alors si vous voulez avoir une vie sexuelle qui soit au-dessus, c’est à dire mieux que celle de la Palourde, il faut que vous soyez une Suspension femelle. C'est le cas ? Ouf ! Non ? Oh vous pouvez encore passer dans un autre casier. non ? Vous préférez attendre? Mais quoi ?

 

Votre intellect :

 

          La TETE, le CERVEAU ? Parlons en, sans transition. Parce qu'avec vous, cher « Susp », les transitions ne sont pas faciles étant donné que vous n'avez aucune position avant la transition ni après. Donc, je disais que sans transition… d'ailleurs je dois dire que je ne suis pas le seul à avoir des difficultés avec les transitions suspensives ou pas… Valéry qui était un bon écrivain pourtant disait que, s’il était riche il engagerait un domestique (!) pour écrire les transitions qui l'assommaient.

 

          Je disais donc, sans transition que nous allons passer au sujet intellectuel de ce qui se passe dans votre tête en tant que suspension… et je dirais, en conclusion, qu'il n'y a pas grand chose à dire sur le sujet !

 

Vos distractions :

 

          C’est le WEEK END ? Mince ! J'avais oublié qu'on était samedi. On part en week-end ? Avec qui ? Avec Josette la Liquéfiée et Gontrand le Morne ? Le Disparu ne vient pas ? Ah il a disparu ? Je pense tout à coup... oh c'est bête ! Je ne peux pas venir… j'ai du boulot. Ouf !

 

          Et vous allez faire quoi cette fois-ci, ce week end ? Compter les mouches ? Ah boucher les souches, souffler les touches, coucher les douches ? Articulez bon sang ! je ne comprends rien. J'ai dit qu'allez-vous faire ce week-end si vous faites quelque chose ? Faire un break ? Mais un break c'est une pause entre deux choses stressantes. C’est vrai, cela peut être aussi une pause de rien… entre deux mollesses? Si vous le dites. Mais je ne peux pas venir cette fois-ci avec vous. Il faut que j'aille au bureau. Excusez moi, je file en catimini, comme d'habitude….

 

Au boulot :

 

C’est quoi le boulot ? Ah oui j’oubliais que, question boulot vous ne savez pas…

 

A table :

 

          La Suspension avec ses dessins fleuris qui se tient au-dessus de la table en réplique inversée de la soupière en faïence, est le symbole qui nous tient particulièrement à cœur, au dessus de la tête, surtout les soirs où vous nous faites l'honneur de votre présence, habillé en sphinx d'Égypte.

 

          L'atmosphère pesante et glauque est finalement relativement calme et tranquille. A l'autre bout de la table, ça crie, ça chahute. Mais dans votre coin, on entend voler les mouches. Il faut dire que ni le Zombi, ni la Méduse, ni le Fœtus ne secouent l'ambiance. Je ne peux pas faire tout le temps du hard rock pour vous réveiller. Pourvu que le groupe de vos fans ne vous pousse pas à piquer du nez dans la soupe.

 

Vous avez quand même vu le plan de table ?

 

 

 

    L'Aventurier
         
Le Morne   TABLE   Le Créatif
Le Foetus     Goldorak
LA SUSPENSION     Mercure
L'Autruche     Le Fonceur
Le Liquéfié     Peter Pan
         
                 Le Vainqueur

 

 

 

 

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13/03/2012
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Vendredi 09/03/2012. Détails du Néant

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Vous êtes Le NEANT

 

          C'est très curieux de voir comme le LANGAGE a sa propre logique, en dehors de toute logique. Exemple : l'individu (Vous, mon cher Néant), est caractérisé sans le savoir, par ce mot terrible le NEANT… c'est-à-dire le vide… le trou noir qui nous vrille l'esprit par son insondable impossibilité de représentation tangible.

                                                        

          Voilà ce que vous êtes: « RIEN ». L'on pourrait croire que votre acte de foi serait de dire « Le néant est un bien » ? Eh bien, non ! Car penser que « le néant est un bien » lui donnerait un côté positif, dynamique, ce que vous vous refusez.

 

          Vous préférez penser à la vitesse de la lumière instable des ondes circulant par quanta désordonnés… (c'est moi qui le dit et vous verrez que j'aurai raison publiquement un jour !)…  plutôt que de vous arrêter à un vrai « bien » solide, fixé une fois pour toutes. Nous nous trouvons ici, sur un stade plat, un de ces confins, steppe étale qui ne bouge plus sous son ciel infini.

                                                                      

          L'individu ainsi représenté est un perpétuel disparu qui met en oeuvre sa vision multiple de lui-même (raisonnements vibrants d'éclatements de pure pensée)... pour ne pas exister. Chaque frémissement de son brillant cerveau, lui sert à s'annuler. Le néant qui est de ne pas être, de ne plus rien sentir, ou alors sentir que l'on ne sent rien, n'est pas son vœu : c'est son état. Vous êtes fait pour vous effacer éternellement.

 

          Cependant seuls ceux qui s'accrochent fictivement à une fin de course, y resteront. (Essayez de comprendre ce que j'ai voulu dire. Si vous n'y arrivez pas, c'est que déjà vous n'êtes plus tout à fait un vrai Néant). Un être aussi subtil que vous, ne peut pas s'enterrer indéfiniment dans ces limbes. Vous êtes d'accord ?

 

Votre caractère :

 

          Oh ! Combien de marins, combien de capitaines, qui sont partis joyeux pour des courses lointaines se sont évanouis dans ce morne horizon ! Sur une plage immobile qui ne bouge pas plus que vous, vous faites fonctionner votre brillant cerveau à toute vitesse, pour lui demander de vous garder dans une attente infinie. Vous faites si bien se rejoindre la vie et le sommeil, que vous arrivez dans une sorte de néant bouillonnant. Cela ne peut pas durer toujours ! Car vous êtes trop subtil pour vous éterniser dans un état si contradictoire. Vous allez vous en sortir. Courage !

 

Les élans de votre cœur :

         

          MOI JE : Vous ne savez pas ce que c'est qu'un oiseau. Vous êtes déjà parti plus loin que son envol. Vous ne savez pas qui est à côté de vous puisque vous ne savez même pas que vous y êtes. Vous ne savez même PAS que vous ÊTES. Alors une vie conventionnelle avec conjoint, enfants, famille, belle famille, vous ne savez pas vraiment ce que ces mots représentent. Cela ne vous traumatise pas de pédaler si vite dans le yaourt ?

 

          AMIS : Où sont ils ? Vous les cherchez ? Qui suis-je ? Où suis-je ? Où cours-je ? Dans quel état j'erre ? (Ce n'est pas du plus bon goût, mais je fatigue. Je n'ai pas pu trouver pire !)

 

          Pourtant, vous en avez des amis ou plutôt vous « attendez » de les rencontrer. Pourquoi se fatiguer ? Tout le monde connaît l'histoire de l'homme qui était parti en vain chercher de par le monde la fortune et l’histoire de celui qui l'avait trouvée en dormant. Installons-nous sur la balançoire infernale de la foire du trône pour voir en attendant sans réfléchir, si les amis arrivent.

 

Votre intellect :

 

          CONSTAT : Vous êtes un être invisible sans existence réelle, ne se solidifiant que par la croyance qu'il aurait en sa solidité. Moins vous vous croyez solide, moins votre armature seigneuriale se fortifie. Vous vous creusez d'ouvertures en ouvertures.

 

          Plus votre cerveau est infini, plus il se dilue en ne trouvant plus que des barrières de néant.. et plus ses ouvertures se ferment. Si vous cessez de vous croire sans consistance, vous passerez petit à petit, à une création protectrice de garde-fous.

 

          Lorsque la muraille sera achevée, vous commencerez à y percer des meurtrières… qui se transformeront jour après jour en baies vitrées… de plus en plus larges… jusqu'à ce que les murs disparaissent ! Vous aurez alors un Cerveau de Vainqueur, juste avant de redevenir un Néant, et tout ça dans un cycle indéfiniment infini!

 

Vos distractions :

 

          MAGIE : Avec vous les tables tournent à tout vitesse pour contacter les esprits qui se baladent de ci de là, dans le néant de l'au-delà. Vous êtes du genre à préférer boire l'eau de là que le vin d'ici. (Je sais, c'est très mauvais comme plaisanterie ! Mais je ne peux pas m'en empêcher ! Il y a des jours comme cela).

 

          Ah, j'en ai une autre : Pour ne pas perdre vos cheveux, mettez-les dans une boite. Oui, ça n'a rien à voir. Et alors ?

 

          Revenons à la magie. Ce ne serait pas vous qui auriez dématérialisé la jambe de madame Pantari, lors de votre dernière séance de spiritisme (qui a bien failli être la dernière pour madame Pantari), hein ? Y en a qui s'amusent comme ils peuvent. Mais faites quand même attention quand vous jouez avec le néant ! (et avec madame Pantari)

 

Travail :

 

Etre écrivain… écrire « l’Etre et le Néant ». Puis le signer de votre propre nom d’emprunt.

 

A table :

 

          On ne perd pas de temps. Tous à vos places !

 

          Quoique avec vous, que peut-on perdre ? S’il fallait tout finir en dix minutes, qu'est-ce que cela voudrait bien dire pour vous ? Vous qui êtes le Néant ?

 

          Voici votre plan de table, le moins mauvais :

 

 

 

 

    L'Incertain
         
La Suspension   TABLE   Le Pionnier
Le Nul     L'Opportuniste
LE NEANT     Le Vainqueur
Le Liquéfié     Le Fonceur
Le Dormeur     L'Aventurier
         
                 L'Inconnu

 

 

 

 

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09/03/2012
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Lundi 05/03/2012. Détails de l'Endormeur

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Vous êtes L'ENDORMEUR

 

          Réfléchir et ne rien faire ? Voilà la question. Mais réfléchir est-ce ne rien faire ? Il faut avouer que vos réflexions sont à la limite de non réflexions. Et qu’est-ce que c'est que ces manies d'écarteler le cerveau des autres en plus du vôtre… pour nous forcer à ne pas bouger dans un « no man's land » écœurant  ? Finalement que voulez-vous pour votre présent ? Non je ne parle pas de  votre présent de Noël. Je veux parler de votre présent actuel.

 

          Vous voulez qu'il explose totalement, pour pouvoir enfin vous libérer dans une grande  sursaturation de latence… vous libérer de cette suspension de vous-même et aussi de l'air qui vous entoure ? Et ça, on peut le dire, car c’est ce que vous cherchez depuis que vous êtes dans la case redoutable de « l’endormeur ».

 

          Je pourrais même être encore plus pénible dans mes descriptions, mais uniquement pour vous faire plaisir… Car je sais que plus un discours est gonflant, plus vous aimez le juger, et définir si c'est « vrai, faux, bien et mal ».

 

          Tout cela en même temps : « vrai et faux à la fois, saturation, sursaturation et désaturation ici et maintenant, illico », sans oublier « le beau et le laid, le juste et l’injuste »... Sachons-le une bonne fois pour toutes : en tant qu'Endormeur vous êtes vachement fameux pour nous endormir. Et à force de ne plus rien vouloir faire, vous vous allez arriver à vous endormir vous-même.

 

Votre caractère :

  

          S'il n'en reste plus un, vous serez celui-là.

 

          Tout est trop multiple en vous ! Vous avez une façon spéciale de faire pour additionner les pommes, les poires, les additions et les soustractions. Vous êtes là, immobile, attendant quoi ?

 

          Que le silence se fasse complètement… que le néant entoure de ouate le bruit des cloches… les lumières de la ville, les odeurs de la boulangerie ? Et que vous vous approchiez à pas feutrés, votre éteignoir à la main, pour voir s'effacer votre image dans le miroir… Et alors,  enfin, vous pourrez vous sentir pleinement dissous, dans une nuit noire qui finit par ne plus exister…. OUT !  Et OUF !

 

Les élans de votre cœur :

 

          SADISME : Vous pouvez épouser qui vous voulez. Bon, me sentant très sadique je vous conseille d'épouser par exemple une de ces fameuses copies de Mikael Jackson qui dans sa phase GOLDORAC s’est métissée moitié : Attila - Méphisto. Vous êtes un mec ? Une fille ? Une personne de petite taille ? de couleur ? Un mal entendant ? Un enfant ? Une oie ? Une tortue ? Pas de problème. M.J., ce chéri, n'était pas xénophobe. Ses sosies non plus.

 

 Votre intellect :

 

          TACHE : Vous savez les tâches du test pour connaître votre QI ? C'est un bon exercice pour vous, étant donné qu'une tache peut représenter une chose et une autre chose en même temps. C’est un truc qui vous pulse, mais pas au point de vous réveiller, si vous vous êtes endormi avant l'exercice. Vous avez d'ailleurs endormi au passage, la personne chargée de vous faire passer le test, et ça avant même de le passer.

 

Vos distractions :

 

          LE PIED : Rien ne vous distrait autant que de partir à 21h30 sur la pointe des pieds au dessert après avoir endormi les treize convives par vos élucubrations. La maîtresse de maison,  pourtant méfiante, vous avait invité pour faire le quatorzième. Mais vous l’avez endormie avec les autres…

 

Travail :

 

Veilleur de nuit ?

 

A table :

 

          Comme je le disais, vous avez réussi à tous les endormir. Bravo.

 

          Même Goldorac est obligé de se resservir du café pour la douzième fois.

 

          La digestion, si nous restons assez éveillé pour manger… sera bonne… grâce à ce calme olympien qui a dominé tout au long du repas. La Larve avait posé sa tête sur votre épaule, le Dormeur l'avait posé sur la table.

 

          Quand à vous, vous somnolez les yeux grands ouverts, pour donner l'exemple parfait de ce qu'il faut faire….

 

          Mais vous êtes en train de nous endormir ? ! ! Oh, non !

 

          Vite… avant que je ronfle, je vous présente le plan de table :

 

 

 

 

 

    Le nul
         
Le néant   TABLE   La Bombe à Retardement
La Larve     Le Génie
L'ENDORMEUR     Goldorak
Le Dormeur     Le Vainqueur
Le Foetus     Le Pionnier
         
                 La chrysalide

 

 

 

 

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05/03/2012
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Jeudi 01/03/2012. Détails de la Larve

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Vous êtes La LARVE

 

          Une Larve ? Oui, mais une larve de quoi ? Parce qu’une larve ce n'est pas n'importe quoi ! C'est une forme embryonnaire particulière aux insectes et par extension aux autres animaux à métamorphose caractérisée par une vie libre et propre (mais peut être par ci, par là assez sale, c'est-à-dire pas forcément propre sous elle, mais propre à elle, menée hors de l’œuf. Voir asticot, chenille, vers).

 

          Cela fait dégoûtant comme ça, mais si on pense qu'une larve se transforme en chrysalide et en nymphe. En vrac et dans le désordre on a : « Avant - arrière, nauphius, zoé, ascolotl, têtard, annocète... » Bref pour vous dire en clair, que si un fœtus attend dans le ventre de sa maman d'être tout à fait prêt, une larve c’est pareil… sauf qu’elle attend dehors.

 

          Elle fait son petit bonhomme de chemin dans l'attente de devenir autre chose. Mais hélas, c'est bien plus que cela. Elle a beau faire semblant de décider rationnellement de sa destinée, elle est envahie par un formidable entraînement à la dissolution totale. Elle vient de finir son temps avec ordre de se détruire en tant que Larve. Elle a amorcé le troc de son existence renouvelée, constructive et forte. En attente de cette prochaine existence, elle en vient très vite à disparaître tout à fait dans sa mare sans eau et elle s'évanouira dans le ciel, en même temps que le reste de l'univers.

 

Votre caractère :

 

          On ne peut pas vous comprendre. Car vous n'existez pas. Vautrée dans un total laxisme, aucun souffle ne vous agite. Cependant, vous ergotez au fond de votre mare plate et immobile. Ce que vous racontez est en contradiction avec ce que vous semblez être : une habile paresseuse qui met toute son astuce à se dissoudre dans son environnement.

 

          Et c'est très grave ! ! ! Parce qu'en tant que LARVE solide, bien qu’en pleine léthargie, vous allez disparaître pour devenir un être nouveau qui va vous renier et rejeter votre étang sans ride, ni couleur. Et ce futur individu vous regardera calmement vous dissoudre dans le cosmos.

 

Les élans de votre cœur :

 

          COEUR A COEUR : Quand une LARVE rencontre une autre LARVE, qu'est-ce qu'elles se larvent, pardon, racontent ? Des amours de larves ! Si vous, en tant que LARVE séductrice en pleine saison des ragots, pardon, des amours, vous rencontrez le profond SAVANT, ou pire, le VIVISECTEUR, et encore pire, l'ENFANT… fuyez !

 

          Ils en profiteraient pour faire des expériences génétiques et c'est vous qui en feriez les frais à cœur ouvert. Ne sortez vos atouts cœur, que lorsque vous serez niché dans un cocon. Larve de ver à soie, ça vous irait ? C'est pas ça qui vous rendrait plus nerveux, mais ça fait plus chic que ténia (surtout sur la rive droite).

 

Votre intellect :

 

          Vous aimez la MER avant tout. Mais Quel soucis ! Vous ne savez plus où vous avez mis la clef de la bibliothèque et pourtant vous aviez besoin de relire Capitaine courage et Ouragan sur le Kaine. Oui, cela se passe en mer. Et ça chahute physiquement pour le premier, puis intellectuellement pour le second. C'est ça qui vous intéresse malgré votre mollesse. Vous aimez l'idée de « mer nourricière » d'une part et d'autre part les contrastes entre votre état larvaire et une agitation ambiante répétitive. Qui a pris la clef de la bibliothèque ?

Vous répondez :  « Attendez ». Et cela énerve tout le monde !

 

Vos distractions :

 

          PISCINE : D’abord barboter dans la mare, avec la Méduse et avec le Foetus qui se croit dans le ventre de sa maman ? Puis essayer d'agiter les bras hors de l'eau pour faire semblant de vous transformer tout de suite en abeille, sans passer par un état intermédiaire supplémentaire ?

 

          Puis se mettre la tête dans l'eau jusqu'aux naseaux et souffler par les narines comme les rhinocéros (pourtant déjà plus dynamiques que vous), en attendant que cela se passe. Et enfin, fermer les yeux très résolument, en saisissant intellectuellement, ce que la situation a d'écartelant.

 

          Voilà tout pour les consignes de distraction d'aujourd'hui ! Je cesse de parler, je vois que cela vous fatigue…

 

Travail :

 

Vous ne savez même pas ce que je raconte !

 

A table :

 

          Vous commencez le repas à côté d'une Larve, et vous le finissez avec un Papillon… qui entre temps, est passé à l'état de Chrysalide. Fabulons à donf, enfin je veux dire affabulons… 

 

          Espérons au moins, que quelqu'un vous aura passé la consigne du jour, pour vous éviter d'avaler de travers le plat d’escargots, qui se trouve trop proche de votre animalité passagère.

 

          Espérons surtout que le plan de table vous a mis loin d'une autre larve. A moins que vous ne soyez vous-même une de ses sortes d'entité en attente de... Chrysalide ?

 

          Alors la maîtresse de maison qui vous a concocté un beau plan de table, vous passe le menu. Mais faites un effort pour le lire et lui dire ce que vous en pensez ! Non ? C’est trop dur à assumer ?

 

          Bon ! Lisez au moins le plan de table ? 

 

 

 

    La Suspension
         
La Méduse   TABLE   Le Cerveau
La Chrysalide     Le Fonceur
LA LARVE     Mercure
Le Morne     Goldorak
La Bombe à retardement     Le Vainqueur
         
                 Le Néant

 

 

 

 

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01/03/2012
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Dimanche 26/02/2012. Détails du Serpent

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Vous êtes Le SERPENT

 

          Tapis dans la clairière, ou lové sur une pierre chauffée par le soleil… glissant dans l'eau limpide et transparente de la rivière, ou niché dans la tiédeur du sofa… vous attendez, inoffensif d'apparence… mais sans aucune morale… qu'une opportunité se présente.

 

          Vous guettez une Eve féminine ou masculine que vous puissiez séduire… surtout si l'aventure se présente sans danger. Car vous êtes un serpent très séduisant. Pas très fiable sur la moralité… très paresseux, très complexe… difficile à saisir en tant qu'individu… vous avez une façon de raisonner qui n'arrange rien. Car vous n'avez qu'une seule position de pensée : A est A, un point c'est tout.

 

           La pomme est la pomme. Bonne pour piéger les victimes de tous les Paradis. C'est chaque fois une nouvelle pomme qu'on ne peut jamais ranger dans un concept général de pomme. Celle que vous avez devant vous, n'a rien à voir avec les autres, et surtout pas avec une pomme idéale.

 

           Vos actes et vos pensées, pour l'instant, vous rendent totalement inexistant. Votre force, telle celle de Monsieur de La Palisse, vous cantonne dans des phrases floues, du genre : « Je sais très bien que je suis en train d'attendre puisque j'attends. Mais cela me fait ni chaud ni froid ».

 

           Ce n'est pour vous ni bien ni mal. Ce que vous sentez domine tout le reste. Le plus terrible de tout ça ? C'est d'être habité par le fini et l'infini qui se bagarrent dans votre estomac, avec le limité et l'illimité, et tous les extrêmes de la terre et du ciel flottants dans une latence étale.

 

           Mais à force d'attendre, vous allez bien déboucher sur autre chose ? Ah vous le savez ? Alors c'est bien moins grave que si c'était pire. Dixit F. Dard.

 

Votre caractère :

 

          Un conseil : Ne jamais suivre un SERPENT dans ses raisonnements brillants ! C'est un traquenard. Vous n'êtes presque pas racontable. Glissant comme un reptile, vous vous servez de vos sensations continues et discontinues pour faire un pont entre des extrêmes qui ne devraient jamais se rejoindre.

 

          Voilà pour l'intérieur. Pour  l'extérieur, vous êtes dans un état de déliquescence complète. Vous attendez de disparaître, comme Alice qui, au pays des merveilles, avait mangé le biscuit de la diminution. Mais finalement, qu'attendez-vous pour offrir à Eve la pomme ?

 

Les élans de votre cœur :

 

          POMME : Eh oui ce fruit revient tout le temps sur le tapis, car il est le symbole de la séduction. La séduction est le terme qui vous caractérise. Vous ne faites rien pour cela ou presque rien. C’est juste votre apparence qui fait tout. Et c'est ce "presque rien" qui fait le reste.

 

          --  Oh, madame Michu, née Michalon, comment se fait-il que vous ayez passé votre appartement, donné votre fille, cédé vos actions, et prêté votre voiture à un inconnu total ?

 

           --  Oh, je ne sais pas" répond madame Michu. Un SERPENT est passé par là… Il était si séduisant…. Je ne sais pas ce qui s'est passé….

 

Votre intellect :

 

          LES  DISCOURS ?  Non, ce n'est pas par la dialectique que vous entraînez les âmes dans votre sillage. Vous n'en avez pas (de dialectique, ni d'âme non plus, d'ailleurs). Vous feriez bien dans l'état où vous êtes, de lire d'affilé les 490 pages du « Discours de la Méthode », de Descartes. Autant aller tout de suite au pire et attaquer le mal par la racine.

 

          Quand vous aurez fini d'assimiler tout ça, votre côté serpent attentiste sera transformé en pire (Zombi, Liquéfié, Méduse), ou aura disparu tout à fait pour se transformer en génie. A moins que ce ne soit en Attila Destructeur. Tiens, au passage, pour faire bien, voici quelques extrait du Discours de la Méthode, dixit Descartes :

 

           --  « Après cela, je considérais en général ce qui est requis à proposition pour être vraie et certaine. Car, puisque je venais d'en trouver une que je savais telle, je pensais que je devais aussi saisir en quoi consiste cette certitude. Ayant remarqué qu'il n'y a rien du tout en ce "je suis donc je pense" qui m'assure que je dis la vérité, sinon que je vois très clairement que pour penser il faut être. Et je jugeais que.. ». Fermons la parenthèse Descartes.

 

          Vous avez tout saisi du jargon ? C’est vrai ? Bah ! Finalement ça ne m’étonne pas.

 

Vos distractions :

 

           LA PLAGE : Lézarder au soleil et puis se retourner sur le dos. Puis ramper vers la mer avec des mouvements très doux, souples, reptiliens. Puis revenir sur la mer et contempler les yeux mi-clos les deux côtés de la plage, avec les rochers à un bout et la jetée à l'autre extrémité.

 

           Puis rêver à tous ces extrêmes qui se glissent de la terre aux étoiles. Puis attendre l'heure du déjeuner, surpris qu'elle arrive si vite. Puis se retourner et attendre l'heure du dîner. Vous aimez beaucoup, beaucoup la plage. Surtout si ce n'est pas vous qui faites les sandwichs, torchez les gosses, repêchez le chien qui est tombé à l'eau, préparez un pansement au petit qui s'est battu avec son cousin, rangez les serviettes, sortez-les mouchoirs..., poussez les poussettes..., pliez les parasols..., secouez les maillots... Oh pardon ! Je vous ai réveillé ?

 

Travail :

                       

Etre toujours en vacances ? Oui, pourquoi pas ?

 

A table :

 

           Allons voyons, personne ne sait que vous êtes un serpent. Cela ne se voit pas. C'est vrai que pour vous affoler, il faut se lever de bonne heure. Le mieux qui puisse se faire serait de vous tirer de votre douce léthargie. Bon, ça y est. On est à table. Je sais que ça ne vous excite pas, surtout que l'on vous a mis à côté de quelques personnes de votre acabit qui ne risque pas de vous énerver. Ah, finalement, vous aimeriez mieux changer de place et aller en bout de table avec les vainqueurs pour qu'ils vous entraînent dans le casier suivant, celui de ceux qui agissent. Eh bien allez y. Non, finalement vous préférez attendre ? 

 

          Mais attendre quoi ?

 

    Peter Pan
         
La Suspension   TABLE   Le Cerveau
La Larve     Le Fonceur
LE SERPENT     Le Créatif
L'Endormeur     Mercure
Le Nul     Le Génie
         
                 L'Enfant

 

 

 

 

 

 

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26/02/2012
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Mercredi 22/02/2012. Détails du Zombi

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Vous êtes Le ZOMBI

 

          Dernièrement je suis allé à un concert « Hard Frankie », en Cyber BPM 220 métissée de copie « Mc Solar », sur fond de danseuses hystérisées, habillées en flamands roses pailletés argent. Or la personne qui m'avait accompagnée était restée tout à fait impassible… malgré les coups de pieds distribués de droite et de gauche par ses voisins « badgetés fans ». Craignant devoir appeler le SAMU, je me faisais un drôle de mauvais sang… et dans cette expectative, j'eus un trait de génie = faire passer à mon cher camarade et voisin, qui habituellement est plus nerveux qu’une puce, un « Test Instantiel », pour voir son « Signe Instantiel », et savoir dans quelle « Case Instantielle » il se trouvait dans l’instant.

 

          C'était le « Zombi » ! Personnage hachuré, vivant dans une uniformité latente. Ca attend et ça n'a de raisonnement qu'une petite pensée sans forme. Ca rentre dans un univers étale peut-être immobile. A le ragarder, on se retrouve dans un état de latence fabuleuse dans laquelle il se passe quelque chose ailleurs, dans cette dimension où le « Rien » veut dire quelque chose… On croit que cela ne vit pas ces bêtes là,  mais tant que cela ne dit pas que c'est mort, c'est que c’est toujours inscris au parti des vivants.

 

          Cet individu très secret sait sans doute beaucoup de choses que nous ne savons pas. Voilà pourquoi en cette soirée de concert, je compris tout à trac… mon cher Zombi… à la fois votre force, face à ce tohu bohu que vous aviez l'air de survoler de cet air supérieur du ministre qui vient de se faire virer sous les huées de l'Assemblée Nationale… et aussi votre faiblesse inquiète, qui se questionne sur la durée de votre état de Zombi vous tenant le front haut… au milieu d'une situation confuse par son but qui n'était pas d'intérêt général… et intérieure… insaisissable de part et d'autre….

 

          Je n'ai rien compris à ce que je viens de dire… sauf que par ce galimatias, je me suis senti très proche de vous… et de tous les Zombis du monde, à la ronde.

 

Votre caractère :

 

Cela ne bouge même plus. C'est plat sans modelé. Cela attend dans une uniformité sans dimension…. Et vous vous retrouvez dans un état de latence fabuleuse dans laquelle il se passe quelque chose… mais z’ailleurs… dans un grand SANS DIMENSION. Vous n’êtes ni une palourde, ni une méduse… vous êtes pire… un drôle d'individu. On croit que vous ne vivez pas. Or tant que vous ne dites pas que vous êtes mort, vous êtes toujours là…. Ceci dit, je sais que c'est une mauvaise plaisanterie de se moquer de ce que l'on ne connaît pas. Dans votre univers mystérieux, c'est peut-être nous, qui avons l'air de palourdes médusées.

 

Les élans de votre cœur  :

 

          HELP ! Zombi et Zombine sont dans un bateau. Bien sûr il faut en trouver. Pas les bateaux… les Zombis natures… car, dus-je vous flatter outrageusement, ils ne font pas légion.

 

           Pour deux raisons. La seconde, (oui, je préfère commencer par celle-là), c’est que vous êtes sur le point de filer comme un pet sur une toile cirée d'autrefois (les nouvelles sont à relief) de votre inconfortable (pour nous) position de ZOMBI, pour déboucher sur un de ces casiers créatifs, qui pour l'instant vous font horreur. Vous êtes en effet assez évanescent et pour ainsi dire presque pas avec nous. Ce qui fait qu'étant déjà pas là quand vous êtes tout seul, je vous vois mal à deux. Comme disait A. Monod, en mettant son manteau, Monod ce jeune homme qui à 96 ans passait son temps à traverser tout seul les déserts, à pied, survolé par des nuées d'hélicos, = « C'est déjà assez difficile de passer son manteau tout seul, alors à deux, vous pensez ». Quoi la première ? La première de quoi ? Où êtes-vous ? Je ne vous suis pas.

Ah, la première question ? Non, je ne vois pas.

 

Votre intellect :

 

           HELP ! Je ne vous suivrai pas sur ce terrain instable. J'attendrai d'y voir plus clair. Je vous vois venir… je veux dire que je ne vous vois pas... ni venir ni pas…Vous allez m'entraînez dans un no man's land inconnu… que je ne peux connaître (pour cause) sans rien m'expliquer….

 

           En effet, je croirai débattre d'un problème intellectuel, et vous, vous me parleriez au-delà de l'infini (si vous me parlez) et de BIEN… en bien ou en mal… et nous en arriverions à nous dire des choses qui n'existent pas… « et » nous finirions par le regretter. Aussi je vous dis mon cher Zombi, ce n'est pas que je veuille faire le malin… mais comme personne n'arrive à comprendre ce que vous dites (quand vous le dites)… je me permettrais seulement poliment de crier help ! Non plutôt : stop. Pas help d'ailleurs car vous ne pouvez plus rien pour moi.

 

Vos distractions :

 

          LUEUR : Ce n'est pas de l'étincelle d'intelligence qui brille au fond d'un cerveau se complaisant dans le zéro d'un bénéfique néant dont je veux parler, cher Zombi… mais bien de ce jeu que les adeptes de JCB férus d'extraterrestres presque autant que lui, réalisent chaque année à la Sainte Félicie.

 

           Ce jour-là de nombreux autocars viennent déverser leur contingent de dames avides de soucoupes volantes, et de clubs du 3ème âge qui n'avaient pas bien saisi le but du pèlerinage faute de réglage de leur appareil sonore et visuel, plus quelques jeunes scouts boutonneux, jumelés avec leur tante avant - gardiste se rangeant en bas des coteaux assaillis par les croyants, ces derniers tapis dans les broussailles attendant la lueur verte des OVNIS visiteurs…. Où en suis-je ? Ah oui, voilà un des plaisirs les plus forts que je puisse vous proposer, cher Zombi, et si vous voulez avoir l'adresse, appelez JCB de ma part, merci !

 

Travail :

 

           Montez une Société de « désenbuement » qui désembuera les cerveaux des parisiens stressés. Faites ça avec le Mort – Vivant,  le Néant,  le Spectre,  le Disparu, etc…

 

A table :

 

           Vous n'êtes pas très crédible en dame patronnesse, en commissaire de police, ou en prof de gym. Mais tant que vous serez déguisé en Zombi (je veux croire que ce n'est passager !) n'ayez l'air de rien (ça vous est facile) et cramponnez vous aux cuillers. Cherchez à passer inaperçu. On sait que vous n'existez pas Alors ne répondez pas au petit Jules qui a tout de suite reconnu que vous ressembliez au héros de son film d'horreur préféré… Vous savez c’est la personne étrange qui passe d'un pas lourd, d'une démarche saccadée, la nuque raide et le regard vide, derrière les meubles. Asseyez-vous en essayant de vous fondre dans la foule des Liquéfiés que la providence a posé à côté de vous. Toute la table en est pleine. bon dîner.

 

Heureusement que je ne suis pas invité.

 

 

 

    Le Dormeur
         
L'Autruche   TABLE   Le Néant
Le Disparu     La Suspension
LE ZOMBI     L'Attentiste
Le Mort Vivant     Le Serpent
Le Morne     La Larve
         
                 La Médusse

 

 

 

 

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22/02/2012
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Samedi 18/02/2012. Détails du Disparu

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Vous êtes Le DISPARU

 

          Quand on est avec lui, on est tout seul ! Car il n'y a plus personne en face de soi. Pouf, évanoui, évaporé : « Dis-Pa-Ru » !

 

           Quand le « DISPARU » est dans le monde, on ne le voit pas parce qu'il est invisible.

 

           Oui, cher « DISPARU », c'est de vous que je parle. Mais où êtes-vous donc encore passé? Ah ! Ce serait vous, cette petite buée là ? ! Il court, il court le furet. Mais où ?

 

          Et tout à coup vous ne courez plus ? C'est fini ? Et bien oui ! Vous vivez de façon discontinue et instable. Vous êtes sans arrêt vacant pour renaître à nouveau différent ?

 

           Souhaitons-le ! Souhaitons surtout que vous ne soyez plus "non dimensionnel" mais que vous vous pariez d'une dimension honorable… sinon visible.

 

           Secouez-vous bon sang ! Sortez du néant.

 

           Quoi ? Mais quelle horreur ! Vous n'allez pas nous dire que cela vous plaît de disparaître ? Si ? Ah parce que pour vous le néant est un bien? Comme si ça voulait dire que le néant est un truc… comment dire... qui existe.

 

          Pour vous, la preuve que vous n'êtes pas là, est considérée comme une preuve positive qui voudrait dire que vous êtes davantage là que si vous n'y étiez pas…. C’est la preuve par neuf du raisonnement négatif… ce raisonnement du fou qui traverse le jeu d'échec en diagonale ? Ah c’est bon ! Si c’est vous qui le dites, je ne dirais plus rien.

 

Votre caractère :

 

           Un coup : oui vous existez. Un coup : non, vous n'existez plus. Et quand vous existez, c'est justement au moment où vous ne pouvez plus exister. Pour l'instant, vous dormez…. Parti sans laisser d'adresse…. Il n'y a pas d'abonné au numéro que vous avez demandé…. C'est fini. Vous avez DISPARU ! 

 

          Je sais, il paraît que vous allez peut-être vous en sortir, émerger de votre léthargie ? En attendant, la clef est sous le paillasson. Inutile d'en dire plus…Vous vous répandez en inexistence, et cela peut durer l'éternité. Il vaut mieux ne pas insister et ne pas se cramponner à vous. Vous êtes OUT. Raccrochez, c'est une erreur.

 

 Les élans de votre cœur :

 

          PARENT : Ce n'est pas du tout pareil si vous êtes du côté parent ou du côté enfant. Dans le premier cas, vous êtes invisible . Les enfants font ce qu'ils veulent et vous vous en foutez. Dans le second cas, vous êtes un enfant invisible et vous faites ce que vous voulez. Vos parents  ne s'en moqueraient pas s'ils se rappelaient que vous êtes leur enfant. Mais ils ne s'en souviennent pas, puisque vous êtes invisible..

 

           CHERI(E) : Quand un CREATIF sort d'une pièce, tout de suite un trou noir s'installe à la place. Pour vous c'est pareil sauf que ce n'est pas le même trou. Que vous soyez à l'intérieur ou à l'extérieur de la pièce, c'est vous le trou noir.

 

Votre intellect :

 

          BIBLIOTHEQUE : On peut vous conseillez de lire ce livre fameux dont le titre est :  « Vous permettez que je vous appelle Raymond ? », de A. de Caunes… Ou bien encore : « La valise en carton  », de Linda de Souza…. Ou Descartes… Bref, on peut vous conseiller n'importe quoi. Vous vous en moquez ! Au point où vous en êtes !

 

Vos distractions :

 

          LE  SPORT : Votre absence parmi nous ce soir, sur le stade du parc des Princes, ou de  Bercy, ou à Roland Garros, mesdames, messieurs est inexplicable ! ! En effet alors que vous auriez tout pour être un grand champion toutes catégories dans des disciplines aussi diverses que le tennis, tennis de table, foot, etc… vous vous désintéressez du sport, et de toute autre activité d’ailleurs, qui demanderait un minimum d'esprit de compétition.

 

            Dommage !

 

Travail :

 

Vous voulez être fonctionnaire ? Celui qui n’est pas là, même quand il est là ?

 

A table :

 

          Le maître de maison est embêté. Il vous a mis en bout de table et on est obligé de commencer sans vous !

 

          Mais qu'est-ce que je vois ? Vous êtes là ! ! Oui, vous le »Disparu », en train de manger les hors d'œuvres ?

 

          Ah Excusez-moi ! On ne vous avait pas vu.

 

          Mais pourquoi vous critiquer, mettre des réserves de points d’interrogation à votre égard ? Vous êtes parfait ! ! Mais avec des vertus négatives.

 

          On ne peut vous désigner qu'avec des caractéristiques négatives : « Sans passion, sans flamme, sans enthousiasme, sans indignation, sans colère, sans appétit, sans vice… » Et hélas aussi, sans imprévu !

 

          On va essayer de vous concocter un petit plan de table de première avec en face de vous, le Génie que vous seriez si on reconnaissez comme « INCONNU » ! !

 

Plan de table spécifique :

 

 

    La Chrysalide
         
L'Attentiste   TABLE   Le Pionnier
Le Néant     Le Cerveau
L'INCONNU     Le Géni
Le Liquéfié     Le Fonceur
Le Zombi     Le Créatif
         
                 Le Mutant

 

 

 

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18/02/2012
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Mardi 14/02/2012. Détails du Liquefié

  http://euromarktinteractive.org/le seul journal trimestriel européen sur l'Art et la Culture (en 15 langues).

 

 

Détail des Profils Instantiels

 

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Vous êtes Le LIQUEFIE

 

           C'est vrai que vous êtes rapide…. Mais surtout pour ne pas bouger. Champion du record de « chaise-longue  toutes catégories » : simple dames, double dames, simple messieurs, double Messieurs, double mixte, France – Etranger… et pour toutes les disciplines du record de sieste, vous avez reçu le « Trophée amorphe ».

 

           Vous pensez en surmultiplication, puissance 4… et vous pensez surtout, à tout ce que vous pourriez faire… pour ne pas penser.

 

           Pendant ce temps-là, votre corps passe de l'état solide à l'état liquide… avec une vitesse grand V. Tout bascule comme dans un grand 8… avec une grande sensation de vous-même, hachurée par quanta…. Hélas ! Car vous ne vous rendez pas compte qu'il y a une paille dans le bijou de votre réflexion… un crapaud dans votre diamant mental.

 

           Auriez-vous un problème… avec votre existence pleine de trous ? Elégamment revêtu d'un vêtement discontinu à base de disparition, vous abordez la réalité de la réalité sans songer vraiment à votre propre corps. Une minute d'inattention de votre moi… et pendant une minute, vous n'avez plus existé. Mais savez-vous que revenir paré d'une virginité toute neuve faite pour l'action, (Oui), est une aventure possible ? !

 

           Cela existe aussi de passer de l'état liquide à l'état solide. Parfaitement ! (état gazeux ? Oh ! laissons cela pour le moment. Rien que d'en parler vous risquez de vous évaporer !).

 

Votre caractère :

 

           Comment peut-on penser si vite et ne rien faire ? Vous êtes à la poursuite perpétuelle de votre pensée, dans le but de la rendre aussi liquéfiée que possible. Cela donne une course infernale dans laquelle les bolides immobiles se répandent sur le macadam. Mais cela ne vous trouble pas du tout. Vous êtes tellement au-dessus de ces choses ! ! Vous êtes tellement éthéré que vous ne vivez même plus. Vous préférez vous dissoudre.

 

           Vous êtes passé, sans vous rendre compte de la coupure, à travers une faille de solidité. Mais vous êtes peut-être prêt à renaître… tout comme le phénix de ses cendres ? Oui ! Peut-être… ou peut-être pas?

 

Les élans de votre cœur :

 

          LES AMIS : Une petite sauterie entre copains de même genre (tous sexes mélangés) ne dérangera pas les voisins. Même le cri de départ : "Qui s'endort le premier ?", est un doux murmure, prononcé par celui qui ne dort pas encore.

 

           Certaines personnes se réunissent pour faire des beuveries, des repas, des parties, des partouses, projections de films de guerre ou de documentaires sur les oiseaux, ou pour raconter des histoires drôles, ou pour fumer la moquette…. 

 

          Mais vous, entre amis du même genre, vous vous réunissez pour ronfler en cœur, une heure ou deux… histoire de ne pas perdre la main.

 

Votre intellect :

 

           LE  MOT  « JE » n’existe pas pour vous. Le désir d'exprimer votre MOI s'exprime de façon forte et rebelle, au travers de la voix de Babits poète fécond hongrois de début de siècle:

 

           --  « Je vis dans une région étrange qui a la Lune pour Soleil, qui prend son âme pour son corps, et l'écume de « rien », pour l'air. Sa rivière est un courant d'air excrétant sa terre molle d'attente. C'est un oreiller de rêves. Sa vie est un rêve mortel. Le vent fonce en tâtonnant.

 

           Son rêve, c'est la mort elle-même de sa chair devenue fontaine. Et puisqu'il faut frissonner, sans peau, sans yeux et sans réserve, le « plus », transformé en eau deviendra plus tard un appeau. »

 

           Voilà comment vous voyait en 1911, Babits poète hongrois finement documenté déjà,  sur le caractère éphémère (j'espère pour vous !) du Liquéfié universel.

 

Vos distractions :

 

           Au LABO ! ! Bien sûr, sommes-nous bêtes ! ! Vous avez donné rendez-vous au Chercheur pour qu'il joue avec vous, à calculer le moment où vous allez passer de votre chaise, à l'intérieur de la cornue, d'une façon chimique et instable (un peu comme le génie d'Aladin, mais à l'envers).

 

           Le Chercheur aidé de son Expérimentateur, vous a frotté le front… et shuit ...vous vous êtes changé en vapeur… pour rentrer dans le bocal… comme un spaghetti filmé à l'envers. Voilà ce que c'est de raisonner à la vitesse de la lumière. Si vous étiez un peu plus concret, vous seriez Mercure. Un peu plus destructif ? Vous seriez Méphisto.

 

           Mais liquéfié à ce point dans l'attente ? Vous êtes le « Liquéfié ».

 

Travail :

                                                    

Dans une piscine ?

  

A table :

 

           Oh ! Excusez-moi dit l’invité… Je vous avais pris pour l'eau du verre. Et oui, ce sont des choses qui arrivent, si on n'y prend pas garde. Heureusement que vous pensez plus vite que l'ombre que vous n'avez plus… ( ou en tout cas de moins en moins, à mesure que vous vous liquéfiez).

 

           Mais vous avez oublié que vous êtes invité à dîner ? Vite… Filez vous asseoir près de ces individus qui sont du même groupe que vous : le Disparu, le Fœtus. Ils sont en attente comme vous. 

          

          Voici un exemple de plan de table :

         

          Près de vous, le Zombi, loin de vous, Mercure

 

 

 

    L'Attentiste
         
Le Foetus   TABLE   Attila
Le Disparu     Le Destructeur
LE LIQUEFIE     Le Serpent
Le Zombi     Prométhée
Le Néant     Satan
         
                 L'Inversé

 

 

 

 

 

 

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14/02/2012
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