L\\\'Enfant qui venait du futur

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            Attention, nous allons passer tous les Signes Astraux en revue, en ce qui concerne ce qui est bon pour leur santé et ce qu’ils doivent à tout prix éviter d’avaler pour rester en bon état. Comme promis, je recopie texto ce Livre appelé : « LA  CUISINE  ASTROLOGIQUE », qui avait eu un si grand succès. 

            Voici la préface :

            -- « Bienvenue Cher Lecteur dans ce monde ésotérique et souvent mal connu de l’Astrologie diététique. Les affinités entre ces deux sujets ne datent pourtant pas d’hier. Déjà, au temps de la Grèce Antique, l’utilisation des horoscopes nutritionnels et même médicaux était en vogue. Ce fameux grand-père de la médecine, le fabuleux Hippocrate utilisait les thèmes astraux pour guérir et même prévenir les maladies par la nourriture.

            Ses formules étaient célèbres. « Dis moi ce que tu avales et je te dirai ce que tu vas pouvoir devenir». Ou encore : « Tu es ce que tu manges ». Les sceptiques cependant, peuvent se demander ce que vraiment la cuisine vient faire chez les astres.

            Ce n’est pas parce que ma date de naissance tombe le 14 ou le 15 Janvier de telle année à six heures du matin en Gironde, que je vais me mettre à manger sain ou au contraire devenir obèse, alcoolique, anorexique, tout de même… En effet, c’est tout à fait exact. Mais de façon plus subtile, le problème se situe ailleurs.

            Car l’Astrologie qui démarre en Chaldée il y a des milliers d’années, souligne sagement que chaque signe possède ses points forts et ses faiblesses, nommés aussi handicaps et atouts de constitution et de naissance. Quelques exemples : Si le Sagittaire, pourtant jovial et bon convive   se met à la bière après un chagrin d’amour, c’est la catastrophe ! Car son pauvre foie si fragile va se révolter. Par contre, le même excès ne fera pas grand chose au Poisson dont le point faible se porte sur les pieds seulement, et le point fort, JUSTEMENT sur le foie.

            Ainsi, même si vous n’y croyez pas, cela vaut peut-être la peine de se renseigner. Au moins pour s’amuser entre amis… De toutes façons, même si vous y croyez, ne tombez pas dans un excessif rigorisme, pesant chaque petit pois à chaque seconde.

             LE CORPS et l’ESPRIT face à l’ASTROLOGIE.

            Abordons les grandes lignes. Comme il ne peut y avoir deux êtres semblables physiologiquement, ni deux êtres semblables devant l’évènement, il faut tenir compte de la spécificité de chaque cas. Deux personnes atteintes de la même affection réagiront différemment devant le même traitement. Deux êtres atteints par un stress semblable vont réagir de façon dissemblable.

            L’astrologie étudiant chaque problème séparément, permet de reconnaître avec précision la nature de chaque individu, d’après son horoscope précis de naissance. Si l’on ne veut pas risquer de tomber dans de trop grandes généralités, il faut donc observer chaque cas. De ces grandes lignes, on peut tirer quelques lois simples :

            1) Il existe quatre grands tempéraments de base :

            Le bilieux correspond aux signes de la terre.

            Le nerveux aux signes de l’air.

            Le sanguin aux signes du feu.

            Le lymphatique aux signes d’eau.

             2) Chaque planète est reliée à une grande fonction :

            Vénus régit les glandes endocrines et la thyroïde.

            Pour la Lune ce sera les liquides du corps et de la lymphe.

            Pour Mars, la circulation sanguine.

            Pour Neptune, le psychisme.

            Pour Uranus, le système nerveux.

            Pour Jupiter, la vésicule biliaire.

            Pour le Soleil, le cœur.

            Pour Saturne, le squelette et les dents.

            Pour Mercure, la tête.

            3) Chaque signe présente des points physiques et psychiques forts, mais aussi des points faibles. Ces derniers commencent curieusement par le crâne avec le Bélier, qui est premier signe du zodiaque, pour descendre avec chaque signe le long du corps pour finir par les pieds avec les Poissons, derniers de la liste, le psychisme étant en relation étroite avec ses forces et ses handicaps.

            4) Tout ce qu’un être humain absorbe a un rapport étroit avec le stress. Ainsi, dans la phytothérapie, chaque plante est régie par un signe ou une planète. Exemple : le Sagittaire a besoin de la chélidoine et de la prèle. Le Lion recherche l’héliotrope et l’aubépine pour son confort.

            5) L’homéopathie garde un rapport étroit avec le ciel, car le corps est composé de 12 sels. Il existe douze planètes et douze signes, chaque sel correspondant à un signe et à une planète. Exemple : le calcium fluoriam est le sel de Saturne. Le calcium phosphorique, celui du Cancer.

            6) Les régimes dépendent du signe zodiacal qui est en rapport étroit avec certains éléments Les actions bénéficiaires des aliments, remèdes, boissons, bref tout ce que l’individu absorbe va servir, tant à son corps qu’à son dynamisme psychique, moral, intellectuel. Le thème montre quelle sorte d’ingrédients est nécessaire pour chacun.

              MAIS TOUT N’EST PAS ECRIT.

             Chacun de nous possède son petit schéma personnel. Car il n’existe jamais deux thèmes semblables, ni deux êtres, même jumeaux, possédant le même destin. Toutefois il est bien répété et répétons le encore une fois : « En astrologie médicale ou seulement humaine les astres « inclinent» mais surtout ne « déterminent » pas. L’hérédité génétique peut être inscrite dans un thème, le legs biologique accumulé par nos parents nous est remis dit-on, par l’ascendant solaire et la planète maîtresse de l’ascendant.

            Cependant, les grandes lignes ne donnent que des indications. Et la part de chacun n’est pas définitivement fixée. Ainsi, peut se composer toute une alchimie fascinante des aliments divers d’une cuisine aléatoire et magique, où la ration de chacun est indiquée, mais jamais imposée avec la rigueur de la certitude. Se soigner, se nourrir, se divertir de façon bénéfique ne dépendent parfois finalement que de l’infime hasard. Et si l’indication existe, elle n’est pas impérative…

            Non, heureusement ! Elle n’est même PAS impérative du tout.